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Secret
comment pourrais-je t'oublier, et oublier ce que nous avons fait, je ne pourrais jamais t'effacer, et ça crois moi tu le sais, je t'ais tant aimer je te jure, maintenant mon amour se fissure, si tu savais comme j'ai mal, la coupure a été fatale, tu resteras a jamais, gravé dans mon coeur nu, et dans mon âme un secret, notre histoire sera devenu.



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Toi
te voir de loin, plus ou moins, s'être croisé , et après... penser a toi, pourquoi pas, peut-être un jour, même pour toujours. Te voir de prés, pour après, te regarder , même t'observer, puis a jamais t'oublier.


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L'amour est une maladie,
L'amour est une maladie, Car mon coeur ne fait que saigner L'amour est une maladie, Car mes yeux ne font que pleurer
L'amour est une maladie, Car ton visage hante ma vie L'amour est une maladie, Car ton corps hante mes nuits
L'amour est une maladie, Car même sans être là, tu es partout L'amour est une maladie, Car sans toi tout deviens flou
L'amour est une maladie, bien pire que le cancer, bien pire que le sida L'amour est une maladie, Une souffrance qui ne se transmet pas
L'amour est une maladie, Qui nous fait tout oublier L'amour est une maladie, Qui se soigne par la réciprocité
L'amour est une souffrance éternelle, quand le coeur du vis a vie aime déjà celui ou celle que tu assassines la nuit



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Si tu étais…
Si tu étais Si tu étais un poème je te lirais dans mon lit à la lumière d'un rêve plongée dans les draps de soie noire de la nuit
Je te lirais avec les yeux et tes mots seraient pour moi des gouttes de rosée qui brillent dans l'obscurité
Je te lirais avec ma peau et tes mots seraient pour moi une pluie de pétales de roses ivre de parfum et de joie
Je te lirais du bout de mes doigts et tes mots seraient pour moi le sable d'une plage qui frissonne sur mon corps
Mais tu n'es pas un poème tu es un recueil tout entier - il faut d'abord te feuilleter et t'ouvrir à la page de l'été Il faut chercher tes traces dans un pré en fleur au pied d'une montagne inconnue
Tu es là à l'ombre d'un noyer enveloppé de silence Sans t'approcher je m'enfile doucement comme le vent qui caresse ton visage et pose sur tes lèvres les senteurs de la mer
Telle un oiseau égaré je me perd dans le ciel presque imaginaire et je pense: si tu étais un poème...



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Qui es-tu ? (Pour cette société de merde…)
Qui es-tu ? Qui es-tu toi ? Qui veux me dicter ma conscience Qui voudrais gagner ma confiance M'enrôler dans une fausse alliance
Qui es-tu toi ? Qui te permet de décider De mon avenir, de mes idées De c'qu'est permit ou prohibé
Qui es-tu toi ? Qui as besoin de ton pouvoir Pour pouvoir vivre ou bien le croire Pour meubler un peu ton histoire
Qui es-tu toi ? Qui profite de toutes les détresses Pour nous inonder de promesses Jamais tenues, mais qui caressent
Qui es-tu toi ? Pour te moquer ainsi de nous te croirais-tu par-dessus tout L'impunité n'est pas pour nous
Laisse-nous toi ! Vivre notre propre vérité Tant que l'on ne te fais pas chier Va t'en ailleurs pour t'amuser !



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